Primé à la Quinzaine des Réalisateurs à Cannes, ce film français est une expérience de cinéma organique et sensorielle très étonnante. Le naturalisme et le fantastique dialoguent et nous racontent une histoire d’abandon et d’amour, sous la neige, au milieu des lueurs
Pierre, ingénieur parisien, se rend dans les Alpes pour son travail. Irrésistiblement attiré par les montagnes, il s’installe un bivouac en altitude et décide de ne plus redescendre. Là-haut, il fait la rencontre de Léa et découvre de mystérieuses lueurs…
Le point de départ du film combine, de façon très minimaliste, le social avec le fantastique. Ce qui peut se lire comme une lente et progressive transformation d’un monde vers un autre. C’est en tout cas une étonnante proposition de cinéma, à la fois simple et ambitieuse, qui opère une mue formelle progressive et contourne l’attendu, à l’image de son personnage principal (incarné de façon très convaincante par le réalisateur) qui, d’un coup, prend un nouveau et sidérant départ dans sa vie.
Primé à la Quinzaine des Réalisateurs à Cannes, ce film français est une expérience de cinéma organique et sensorielle très étonnante. Le naturalisme et le fantastique dialoguent et nous racontent une histoire d’abandon et d’amla neige, au milieu des lueurs